Relations artistiques entre Italie et anciens Pays-Bas
Relations artistiques entre Italie et anciens Pays-Bas, XVIe et XVIIIe siècles : bilan et perspectives = Artistieke relaties tussen Italië en de Nederlanden, 16de-18de eeuw : status quaestionis en vooruitzichten
Bruxelles ; Roma : Institut historique belge de Rome, 2012, 143 p.
Collection Artes ; 3
ISBN 978-90-74461-77-1
N 2564
Le présent volume est le fruit d’un colloque organisé en avril 2009 par la Fondation nationale Princesse Marie-José. Depuis 1930, date de sa création, la FOndation n’a cessé de promouvoir les liens intellectuels et artistiques qui unissent la Belgique à l’Italie. C’est en vue d’opérer un bilan de ces recherches en cours et de tracer quelques pistes pour des recherches à venir que le colloque “Relations artistiques entre Italie et anciens Pays-Bas (XVIe et XVIIe siècles), bilan et perspectives” fut organisé à la Koninklijke Vlaamse Academie van België voor Wetenschappen en Kunsten les 24 et 25 avril 2009.
Des relations ont existé entre l’Italie et les anciens Pays-Bas depuis le Moyen Âge, quand les échanges étaient continus à travers toute l’Europe. Mais à partir du XVe siècle, lorsque l’Italie et les anciens Pays-Bas ont constitué, du point de vue des arts visuels, deux des principaux pôles de la civilisation occidentale, un dialogue s’est instauré entre eux, qui s’est révélé particulièrement riche et stimulant. Les échanges artistiques durant les XVIe et XVIIIe siècles s’avèrent en effet être d’une rare fécondité, offrant des pistes de recherches qui sont loin d’être épuisées et qui n’ont pas encore été toutes explorées. L’objectif de ce volume est précisément de rendre compte de la diversité et de la complémentarité des approches renouvelant ce domaine d’étude.
Axe de recherches :
- Équipe 1 – Histoire de l’art : formes, dynamiques, interprétation
OpenEdition vous propose de citer ce billet de la manière suivante :
Corinne HÉLIN (6 février 2013). Relations artistiques entre Italie et anciens Pays-Bas. Regards sur l'IRHiS : le carnet des doctorant·e·s. Consulté le 12 novembre 2025 à l’adresse https://doi.org/10.58079/qg5k

